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dans ORALTITUDE ODYSSEE

Développer sa puissance oratoire

"La reconnaissance des autres est l’oxygène de l’existence". Charles Baudelaire.

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S’exprimer, que ce soit par la parole ou par le chant, est un besoin fondamental ancré au cœur de l’humain. Nous parlons et créons bien sûr pour échanger, mais surtout pour tenter d’exister le temps de notre court passage sur Terre. En espérant que notre discours parviendra à nous faire entendre et respecter de ceux à qui nous l’adressons et, si possible, aimer de ceux ou celles dont l’estime et l’affection nous importent émotionnellement le plus. Or, on pourrait dire que, sur le plan de l’utilisation des capacités de notre voix nous sommes en fait pour la plupart, sans le savoir et à fortiori sans le vouloir, en service vocal minimum. Ceci faute de connaître l’extraordinaire potentialité que notre voix recèle au niveau du pouvoir de captation d’un auditoire Les travaux évoqués ont en effet démontré que sommeille en chacun de nous un puissant potentiel vocal mais qu’à l’évidence, notre seul instinct phonatoire ne suffit pas faire éclore. L’ignorance que nous avions de son existence et surtout la méconnaissance des moyens de faire éclore cette plénitude harmonique dont dépendent l’estime de soi et le rapport aux autres, nous a privé d’atouts précieux très importants sur les plans physiologique, psychologique et existentiel. Atouts qui sont désormais à notre portée.

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Développer sa puissance artistique



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L’Oraltitude offre à quiconque la capacité de devenir un artiste de haut niveau en acquérant les qualités élevées d’interprétation d’un texte ou d’une musique ainsi que la richesse de créativité artistique associée. Ceci dans tous les domaines concernés par la voix et l’oreille c’est-à-dire le théâtre, le chant, la pratique instrumentale et même la danse. Cette seconde valence concerne donc la sphère artistique propre de chaque individu. La technique d’enrichissement de la fourniture harmonique de la palette vocale, réalisée à partir des découvertes que nous avons évoquées, donne en effet, à quiconque s’y prête et en quelques séances, la possibilité d’entendre dans son émission vocale, le futur prometteur de ses capacités artistiques oratoires (théâtre et chant) et instrumentales (développement parallèle de l’écoute musicale fine des sons). Ceci, tant sur le plan de l’esthétique du timbre que sur celui de la créativité de l’interprétation ou de la composition musicale. Cette puissance artistique provient de ce que nous avons appelé : « l’effet Stradivarius ». Disons-en déjà ici quelques mots de plus. On sait que lorsqu’un violoniste achète un instrument de haute lutherie (et sans doute de haute lutte en regard du prix), il ne le fait pas seulement pour jouer, de la même manière qu’avant, son répertoire, avec simplement en prime, le bonus d’un meilleur son. Il ne consent en fait à faire cet achat fort onéreux que parce que la qualité exceptionnelle du timbre de ce violon lui permet de trouver des nuances d’interprétation et une créativité musicale dont il n’aurait sans doute jamais eu l’inspiration sur un instrument de moins noble facture. Pour le dire autrement, à ce niveau, la qualité du son participe à l’envol artistique. Eh bien, l’étonnant est qu’il se passe tout à fait la même chose avec ce qu’on pourrait appeler le « Stradivarius vocal » que chacun porte en lui, à son insu. C’est pour tout le monde un véritable cadeau du ciel. L’équivalent serait qu’il suffirait d’acheter un instrument de bonne facture pour devenir progressivement musicien et pouvoir en jouer avec talent. Et bien c’est très précisément ce qui se passe avec notre voix grâce à l’Oraltitude. Processus qui induit, en temps réel la créativité dans l’écriture de la partition musicale du discours que nous tenons et développe la richesse des possibilités d’interprétation théâtrale, l’aptitude au chant et à la pratique instrumentale.

Devenir Formateur




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Nous avons appelé pouvoir « formantique » la capacité de réveiller la puissance oratoire et artistique d’autrui. Ce pouvoir fonctionne comme le champ d’un aimant, capable de transmettre la noblesse de son induction magnétique processus dans lequel chaque pièce de métal rentrant en contact, se voit alors gratifié d'une partie de sa puissance d’attraction. L’effet « formantique » est un phénomène de transmission du même ordre. La signature vocale donnée par l’Oraltitude permet de transmettre au public, rien qu’en parlant ou en chantant, une partie des trois pouvoirs dont nous avons parlé, en allumant des groupes spécifiques de neurones miroirs dans le cerveau mimétique de celui qui nous écoute. Embryon de pouvoir certes, mais dont l’effet contrairement à celui du morceau de métal qui, une fois séparé de l’aimant, retourne à sa triste condition de sujet, perdure chez l’individu à qui il a été transféré, une fois coupé le contact oral avec cette sorte de « chant magnétique ». Pour le dire autrement, l’Oraltitude permet à votre parole de constituer, parallèlement au discours prononcé, un cours de chant pour votre auditoire. Cela revient à dire que chaque orateur acquiert, grâce à l’Oraltitude, le pouvoir de commencer à réveiller le génie endormi des autres. Le fait que ce troisième pouvoir, fonctionne de manière universelle, comme la musique, quelle que soit la langue maternelle, induit donc la possibilité d’ouvrir massivement au niveau international la formation de formateurs.

NOTE SUR LES CRITERES DE SELECTION DES FORMATEURS

Tout individu possède un certain potentiel vocal que la méthode Oraltitude permet, hors pathologie vocale, de faire éclore dans sa plénitude, quel que soit l’état phonatoire de départ (cela se démontre rigoureusement grâce à nos travaux). On peut alors, compte tenu de ce qui précède, légitimement se demander les raisons d’une « sélection ». Quelques explications s’imposent donc. Elles ont trait au temps nécessaire pour former un formateur et au « rendement vocal » de ce formateur une fois formé. Vu l’importance et l’urgence de l’enjeu, il nous faut être pour les premières promotions à la fois le plus rapide et le plus efficace possible dans cette entreprise. Le plus rapide. Le paramètre qui détermine la durée (appelons-la t1) de la formation d’un futur formateur (appelons-le f) est la vitesse de réponse de ce formateur au signal vocal harmonique qui lui est adressé par celui qui le forme (appelons-le F). La rapidité de cette réaction, c’est-à-dire la vitesse et la qualité de la réponse vocale aux sons émis par F est en rapport avec la qualité de l’oreille spectrale (écoute fine des sons) de f. Qualité qu’il est toujours possible d’améliorer car elle concerne des groupes de neurones miroir du cerveau mimétique, c’est-à-dire une zone cognitive d’apprentissage. Le plus efficace. Le nombre de séances nécessaires (appelons cette durée t2) pour optimiser la voix d’un individu est, lui, inversement proportionnel au potentiel de richesse harmonique du timbre de voix du formateur. Pour le dire autrement, plus la fourniture harmonique de la voix du formateur est riche, plus la réaction du locuteur est rapide (et donc, plus la reproduction, dans sa tessiture, de la qualité harmonique entendue se fait vite et donc plus la durée d’apprentissage est réduite). Mais contrairement à la qualité d’écoute spectrale, la fourniture harmonique de la voix est une valence pour laquelle nous ne sommes pas tous égaux : c’est une donnée de nature. Il y a des voix à haute teneur harmonique et des voix plus légères. La technique d’optimisation du timbre de la voix que nous avons mis au point permet, nous l’avons dit, de faire éclore, chez chaque individu, la totalité des potentialités de sa voix. Les propriétaires des voix plus légères peuvent donc eux aussi devenir formateurs mais avec un rendu de réponse plus long que les propriétaires de voix à grain riche en harmonique. Compte tenu de ce qui précède, on voit que si tout le monde peut devenir formateur (du moins en ce qui concerne le plan phonatoire) le temps de formation nécessaire à la formation vocale du futur formateur est d’autant plus raccourci que la réactivité de son oreille spectrale est élevée et le rendement de ce formateur une fois formé est d’autant plus élevé que sa voix, une fois optimisée, est riche en harmoniques. Ce qui revient à dire que pour viser, dans le cas qui nous occupe, une mise en place rapide et efficace d’une structure de formation, il faut prendre en compte deux valences : - la qualité de l’oreille spectrale du candidat formateur (qualité qui n’est pas une donnée immuable et qui peut toujours s’inscrire dans une perspective de progrès) - le grain de sa voix, c’est-à-dire la richesse potentielle ou avérée de son timbre (donnée de nature qu’on ne peut changer et potentialité qu’il s’agit seulement de faire éclore ; ce que permet évidement la technique que nous avons mise au point). Ces deux valences déterminant donc pour un individu donné, pour la première, le temps « t1 » nécessaire à sa formation (temps nécessaire pour qu’un groupe d’élèves ait devant lui un formateur agréé), et, pour la seconde, le temps « t2 » qu’il faut ensuite à ce formateur pour optimiser l’émission vocale des enfants dont il a charge. Il nous faut donc prendre en compte l’addition t1+t2. Sommation dont le résultat est d’autant plus faible que les deux paramètres explicités ci-dessus (qualité de l’oreille spectrale et richesse harmonique) sont élevés chez un formateur donné. En vertu, d’une part, de ce qui précède et, compte tenu, d’autre part, de l’urgence qu’il y a à fournir des formateurs de voix performants au système éducatif, on comprendra que nous sommes contraints de sélectionner les candidats en évaluant ces deux valences. Ceci d’autant plus que, comme nous l’avons dit, nous serons tenus, dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires à une obligation de résultats sur un calendrier de formation extrêmement court. En résumé, concernant le périmètre purement phonatoire, les auditions ont pour but de déterminer le profil vocal du candidat (au regard des paramètres qui définissent l’Oraltitude). Profil vocal qui se décline sur deux points indépendants de son état phonatoire au moment de l’audition : - la potentialité de la teneur en harmonique de la voix du candidat, - sa vitesse de réponse spectrale (c’est-à-dire sa vitesse de réponse et donc de correction des valeurs en excès ou en défaut des paramètres de sa voix tels que définis par l’Oraltitude).

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